La ménopause, cause possible des fuites urinaires

Conséquence méconnue et pourtant fréquente de la ménopause, l’incontinence urinaire d’effort se traduit par des fuites partielles dès la moindre augmentation de la pression abdominale comme par exemple une quinte de toux, des éternuements, le port de charges lourdes ou même un fou rire. En général, ces fuites s’installent progressivement mais, faute de traitement adapté, elles deviennent de plus en plus gênantes pour les personnes qui en sont victimes comme l’explique Élisabeth, 55 ans, dans ce témoignage : Témoignage : l’incontinence urinaire d’effort au quotidien D’où vient le problème? Quelles solutions? Choisir la bonne protection
« Je ne peux pas dire que mes fuites urinaires sont arrivées subitement. J’ai commencé à en avoir un peu avant 50 ans, je crois. Mais cela ne me paraissait pas vraiment grave, juste des petits accidents quand je toussais ou quand j’éternuais. Et puis l’an dernier, je me suis trouvée dans une situation très embarrassante, un soir où nous avions été au cinéma avec des amis. Le film était très drôle et j’ai beaucoup ri, mais je me suis retrouvée trempée et forcément très mal à l’aise…
Après cette histoire, je ne me suis plus risquée aux sorties entre amis, j’évitais même les repas de famille. Ma vie est vite devenue assez compliquée : j’évitais de rire et de tousser autant que possible mais, lorsqu’il m’arrivait d’éternuer, c’était la fuite assurée. Je m’en voulais terriblement d’être incapable de me retenir. J’avais tellement honte que je n’osais en parler à personne.
A vrai dire, je ne pensais pas que mon médecin pouvait m’aider, jusqu’au jour où j’ai vu sur internet que la ménopause pouvait entraîner des problèmes d’incontinence urinaire. Du coup, j’ai couru consulter !
Maintenant mon médecin m’accompagne très bien et ça va déjà beaucoup mieux. J’ignorais qu’il y avait tout un arsenal de solutions pour les femmes qui ont des fuites urinaires, ce qui prouve bien que je ne suis pas la première à qui cela est arrivé ! »
En effet, à la ménopause, la chute des taux d’hormones dans le sang provoque un affaiblissement des muscles et notamment du sphincter de la vessie qui peut perdre alors en efficacité. Mais comme l’a très justement fait remarquer Élisabeth, de nombreuses solutions sont disponibles aujourd’hui pour les femmes qui souffrent de ce type de fuites urinaires.
En premier lieu, le médecin a pu proposer à Élisabeth un traitement hormonal de substitution pour tonifier les tissus et les muscles affaiblis. Il peut également prescrire des séances de rééducation uro-gynécologiques qui visent aussi à renforcer le périnée.
Et puis bien sûr, Élisabeth a bénéficié des conseils avisés de son médecin. Elle sait maintenant qu’elle doit éviter tout ce qui est susceptible d’augmenter la pression abdominale, à savoir : les sports provoquant des à-coups comme le tennis, le jogging ou l’équitation. Il lui faudra désormais privilégier la marche ou la natation.
Élisabeth devra aussi surveiller son poids car en perdant quelques kilos, elle soulagera en grande partie cette pression abdominale et limitera de facto les fuites urinaires.
Enfin, le médecin ou le pharmacien peuvent aussi guider Élisabeth vers le type de protections à utiliser pour lui permettre de reprendre vraiment confiance en elle. Dans la mesure où ses fuites urinaires sont modérées, les slips absorbants ou les protections anatomiques seront des solutions discrètes et largement suffisantes.
Certes, l’incontinence urinaire d’effort chez les femmes ménopausées n’est pas rare, mais les solutions que peuvent proposer les médecins ou même les gynécologues ont fait leurs preuves ! Voilà pourquoi il ne faut surtout pas hésiter à consulter le plus tôt possible !
Demandez votre guide d’information gratuit ci-dessous ou faites le test pour trouver la solution adaptée à votre situation :

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